FAQ

Il n’est pas nécessaire d’attendre un problème spécifique pour consulter un nutritionniste. Faire un suivi nutritionnel peut être un véritable geste de prévention et d’hygiène de vie, vous aidant à maintenir votre forme et une bonne santé sur le long terme. Parfois, votre médecin peut vous recommander un changement d’alimentation pour des raisons de santé. Dans ce cas, il est judicieux de faire appel à un nutritionniste ou à un diététicien pour vous accompagner dans ce processus.
Il existe également de nombreuses autres raisons de consulter un spécialiste de la nutrition, comme l’amélioration de vos performances sportives, la gestion de votre cholestérol, l’adaptation de votre alimentation pendant la grossesse ou l’allaitement, ou encore l’optimisation de la croissance de votre enfant, etc.
Avant d’entreprendre un quelconque changement alimentaire, il est toujours recommandé de consulter votre médecin pour un avis professionnel.

Un nutritionniste est un professionnel de la santé spécialisé en nutrition, ayant suivi diverses formations et spécialisations dans ce domaine. En Suisse, le terme « nutritionniste » n’est pas protégé, ce qui signifie que n’importe qui peut s’auto-proclamer nutritionniste. Cependant, seul un spécialiste en nutrition agréé par l’ASCA et le RME sont reconnus et pris en charge par les assurances maladies complémentaires.

Les labels ASCA et RME sont des garanties de qualité pour les thérapeutes pratiquant la médecine empirique en Suisse. Ils assurent que les professionnels respectent des normes strictes en matière de formation et d’expérience pratique.

Il n’est pas obligatoire d’avoir une ordonnance médicale pour consulter un nutritionniste. Toutefois, il est toujours recommandé de discuter avec votre médecin avant d’entreprendre tout changement alimentaire, et de contacter votre assurance pour connaître les conditions de remboursement.

Le diététicien, quant à lui, est un professionnel titulaire d’un diplôme en diététique, et son titre est protégé par la Confédération. Une consultation diététique est remboursée par la LAMal, sous certaines conditions, et sur prescription médicale.

Les médecins nutritionnistes sont des médecins diplômés qui ont complété leur formation par des spécialisations en nutrition. En Suisse, il n’existe pas de titre post-gradué spécifique pour les « médecins nutritionnistes ». Seul un médecin peut prescrire des médicaments liés à la nutrition.

Vous n’avez pas besoin d’une ordonnance pour consulter un nutritionniste. Les consultations avec des nutritionnistes reconnus par l’ASCA et le RME en Suisse sont remboursées par la majorité des assurances complémentaires sans nécessité d’une prescription médicale.

Cependant, il est recommandé de consulter votre médecin au préalable pour discuter de vos démarches et effectuer des analyses si nécessaire. Si vous remplissez certaines conditions, votre médecin peut vous délivrer une prescription diététique, ce qui permet un remboursement par l’assurance de base LAMal si vous consultez un diététicien reconnu par l’Association Suisse des Diététiciens (ASDD).

Le terme « nutritionniste » étant non protégé en Suisse, il est important de vérifier les qualifications et la formation du professionnel que vous envisagez de consulter.

Je vous recommande de choisir des nutritionnistes reconnus par les labels d’assurance ASCA et RME, qui garantissent un haut niveau de qualification.

Je vous conseille également de privilégier les nutritionnistes qui disposent d’un site internet, d’une page OneDoc, ou d’une page Google My Business, plutôt que ceux qui exercent uniquement sur les réseaux sociaux.

La fréquence des consultations varie en fonction des besoins de chaque personne. Après la première séance, vous aurez déjà des outils pour rééquilibrer votre alimentation.

Certaines personnes, notamment celles en démarche de perte de poids, peuvent avoir besoin de consultations plus rapprochées pour maintenir leur motivation et surveiller l’impact du changement alimentaire sur leur métabolisme.

Dans le cas de pathologies spécifiques, comme le syndrome de l’intestin irritable avec un régime FODMAP, les suivis peuvent également être plus fréquents au début.

Pour d’autres, les consultations de suivi peuvent être plus espacées, permettant de faire le point régulièrement et de maintenir les acquis.

La fréquence des consultations est toujours discutée lors de la première consultation.

Pour votre commodité, j’offre mes consultations dans deux cabinets différents. Il est également possible de demander une consultation à distance ou à domicile selon la situation.

Je consulte au centre de thérapies « Au Centre de Soi » à Préverenges, dans la région de Morges. C’est un centre pluridisciplinaire de thérapeutes complémentaires qui collabore avec le cabinet médical Ultreia.

Il est stratégiquement situé sur la route de Genève entre Morges et Lausanne, avec plusieurs places de parking gratuites à disposition.

Adresse : Au Centre de Soi
Allée du Rionzi 1, 1028 Préverenges

J’offre aussi des consultations à l’espace de la Boutique Fegyna à Morges. Fegyna est une boutique dédiée à la santé des femmes, offrant divers ateliers. Cet espace pluridisciplinaire de thérapeutes complémentaires collabore avec un cabinet de gynécologie dans le même bâtiment.

Situé en plein centre-ville de Morges et à quelques pas de la gare, il est facilement accessible à pied, avec plusieurs options de parking à proximité.

Adresse : Espace Boutique Fegyna
Rue Saint-Louis 2, 1110 Morges

Pour les consultations à distance ou à domicile, merci de me contacter par téléphone ou par email.

Pendant toute l’enfance, l’alimentation doit être à la fois amusante et éducative, sans jamais devenir une source d’anxiété ou de stress. En tant que parent, c’est à vous de proposer une alimentation qui soutient le développement physique et cognitif de votre enfant. Rappelez-vous que cela ne doit pas devenir une préoccupation pour lui, car cela pourrait affecter son image de soi, son estime personnelle, et même le conduire à des troubles alimentaires.

Voici quelques consignes pour aider votre enfant à bien manger :

1. Maintenez un rythme de repas régulier : Évitez de lui proposer de la nourriture en dehors des repas et des collations. Cela l’aidera à mieux reconnaître les signes de la faim et à écouter son corps.
2. Évitez d’utiliser la nourriture comme récompense ou punition : Cela pourrait amener votre enfant à développer une relation malsaine avec les aliments.
3. Ne bannissez pas certains aliments : Interdire strictement des aliments comme les bonbons peut avoir l’effet inverse et rendre ces aliments encore plus désirables. Limitez simplement la quantité et ne les proposez pas tous les jours. Apprenez à votre enfant que certains aliments sont meilleurs pour sa santé et encouragez-le à les apprécier dès le plus jeune âge.
4. Surveillez les portions : Montrez-lui visuellement la taille des portions adaptées et évitez de lui dire de toujours finir son assiette. Cette attitude peut engendrer chez lui/elle un dégoût pour certains aliments et nuire à sa vision des repas.
5. Faites des repas un moment amusant et éducatif : Impliquez votre enfant dans les courses et la préparation des repas. Il prendra plaisir à cuisiner avec vous des plats sains et savoureux, ce qui l’aidera à développer de bonnes habitudes pour toute la vie.

Adopter ces habitudes peut être non seulement bénéfique pour la santé de votre enfant, mais aussi pour toute la famille. Alors, lancez-vous et faites de l’alimentation une aventure positive et enrichissante en famille !

L’adolescence est vraiment une période de grands changements, et il est tout à fait normal de trouver difficile de parler d’alimentation saine avec votre adolescent. Vous vous demandez peut-être si les conseils que vous lui donnez sont bien reçus ou s’ils pourraient entraîner des pensées ou comportements alimentaires malsains.

Il est vrai que discuter de ce sujet peut être délicat, car les adolescents explorent leur identité, cherchent à être plus autonomes et à se socialiser avec leurs pairs. Ils pourraient donc parler davantage de leurs préoccupations avec leurs amis plutôt qu’avec vous. L’alimentation peut également devenir un moyen pour eux de se démarquer ou de se conformer aux normes sociales.

Rassurez-vous, il est possible de naviguer cette discussion de manière constructive. Soyez empathique et maintenez une communication ouverte avec votre enfant. Quand vous parlez de nourriture, essayez d’adopter une approche positive ou neutre. Vous pourriez lui poser des questions ouvertes, comme « Qu’est-ce qu’une alimentation saine signifie pour toi ? » Cela vous donnera une idée de la façon dont il perçoit la nourriture et vous aidera à aborder le sujet de manière appropriée.

N’oubliez pas de lui expliquer que la santé peut se manifester sous différentes formes et tailles. Ce que nous voyons sur les réseaux sociaux ne reflète pas toujours la réalité pour la majorité des gens. Il est important d’éviter de discuter de poids ou d’apparence avec votre adolescent. Même des commentaires négatifs, même innocents, sur l’apparence peuvent avoir un impact. Encouragez-le à réfléchir à la fonctionnalité de son corps plutôt qu’à son apparence, afin de soulager la pression de se conformer à un certain idéal.

La meilleure façon de promouvoir une relation saine avec la nourriture est de lui permettre de choisir les aliments qu’il aime sans jugement. Si votre adolescent sait qu’il peut apprécier ses plats favoris sans se soucier du regard des autres ou de l’impact sur son poids, il développera une relation plus positive avec la nourriture et son corps.

Si vous avez des préoccupations concernant les comportements alimentaires de votre adolescent, n’hésitez pas à chercher de l’aide professionnelle Cela peut vraiment vous aider !